Il convient de réaffirmer la vision européenne de la religion. La relation pouvoir/savoir également, et la recentrer dans la cité. Il n’y a pas de cité sans religion et sacré. La religion est un fait social à ne pas négliger.

Même si parfois les imbrications entre religion et politique ont pu être désastreuses : Calvin, Savonarole,…

La religion et violence/tolérance : l’historiographie montre la complexité. A porté les deux. Des moments de tolérance ont existé ( Andalousie, Antiquité,…). Voire même l’imagination aurait permis de développer la tolérance ( Uchronie qui développe l’hypothèse que le christianisme n’aurait pas eu de succès ).

La loi de 1905 : période de violence/ tolérance. Violence des débats contradictoires, mais éloquents à l’Assemblée Nationale, et d’un autre côté, tolérance (Briand, Jaurès, Clémenceau ) . L’école reste à présent e dernier bastion de ces enjeux, de ces disputes religieuses, avec l’arrivée et le développement de l’Islam, qui cristallisent les frontières entre religion et politique. Faut-il modifier la loi de 1905 ?

L’auteur conclut sur la sacralité du texte ?