L’homme se sait-il encore
mortel ? Il s’est emparé du pouvoir des dieux et ce XXe siècle, qui fut
celui de toutes les ruptures, est aussi, paradoxalement, celui de
l’aboutissement. Merlin satanique, il accommode le monde à son désir et
devient ainsi son plus grand prédateur. La science sans conscience mène aux
pires errements, la culture ne protège pas de la barbarie, la terre est malade
de l’homme…