De la peste des
Philistins au virus Ebola, les épidémies n’ont cessé de marquer cruellement
la destinée des sociétés. Les attitudes sociales, les comportements
individuels, les peurs, ou, à l’inverse, les entreprises sanitaires et les découvertes
médicales qu’elles ont suscités se développent en un parcours où se
conjuguent réalités biologiques et culturelles.